La saison régulière se termine, c’est donc l’heure des playoffs et des trophées. MVP, Coach of The Year, All-NBA Teams…
Comme chaque année, Basket USA se mouille et livre son verdict.
Cette année, chaque membre de la rédaction donne son avis, avec des arguments si possibles.
On commence aujourd’hui avec le titre de Rookie Of The Year. On attend vos commentaires et vos arguments également.
– Dimitri : Derrick Rose. Il a réussi à redonner le moral aux fans de Chicago, même lorsque Drew Gooden était encore là.
– Emmanuel : Derrick Rose, qui est pour beaucoup dans le retour des Bulls en playoffs. Même si tout n’est pas parfait, il a mieux tenu sur la longueur que des joueurs comme Westbrook. Au final, il emmène son équipe en playoffs contrairement à Mayo, Lopez et Cie.
– Greg : Derrick Rose, grosse adaptation et impact immédiat au jeu NBA, déjà un leader (mention à O.J. Mayo)
– Jeremy : Derrick Rose est déjà l’égal des vétérans de Chicago, il a mené son équipe en playoffs avec une sérénité surprenante. Bien sûr, mentions spéciales au Russel Westbrook, O.J Mayo, Brook Lopez, Rudy Fernandez et Kevin Love, tous membres d’une promotion très dense. Une mention très spéciale également à Eric Gordon, futur très très grand de la ligue.
– Benjamin : Derrick Rose.
– Nathan : Derrick Rose. Promis à une grande carrière chez les pros. Mais mon vrai coup de cœur, c’est Eric Gordon.
– Jonathan : Derrick Rose, il porte Chicago et va jouer les play-offs dès sa première année. Les résultats de son équipe lui donnent l’avantage sur Mayo, plus fort individuellement mais jouant à Memphis…
Fabrice : Derrick Rose. J’ai réellement été impressionné par la facilité de O.J. Mayo mais ce n’est pas un leader. J’ai peur qu’il ne reste qu’un scoreur toute sa carrière. L’inverse de Rose qui s’est imposé à Chicago alors que le début de saison n’était pas bon, et qu’il s’est mangé le rookie wall au début de l’année. Mentions à Brook Lopez car il faut être fort pour se distinguer aux Nets, aux côtés de deux scoreurs comme Harris et Carter, et à Rudy Fernandez, parti pour faire une carrière à la Ginobili.
Conclusion : Inutile de faire le décompte des voix, Derrick Rose a conquis toute la rédaction. Dans un effectif compliqué comme celui des Bulls, avec un coach qui débute et des dirigeants impatients, il fallait être fort pour s’imposer et résister à la pression.