Fraichement signé en tant que coach des Brooklyn Nets, Lionel Hollins s’installe pour la première fois de sa carrière à New York, après avoir coaché à trois reprises les Grizzlies, époque Vancouver et Memphis.
« Nous avons toutes les chances d’être champion… »
En premier lieu, le successeur de Jason Kidd s’est dit très confiant sur les possibilités offertes par son effectif.
« Je crois que toutes les chances d’être champion sont réunies. » a déclaré le coach à Nets Daily. « Et nous avons juste à faire notre boulot pour que cela devienne réalité, que ce soit les coaches ou les joueurs. Après, nous pourrons célébrer cela ensemble. »
Derrière ces déclarations évidemment optimistes avant le début de saison, Hollins a également commenté les différences – de taille – entre les villes de Memphis et de New York.
« Je suis très à l’aise à New York. Je n’aurais jamais pu penser m’installer ici, surtout après douze ans passés à Memphis. » a t-il poursuivi, tout sourire. « En comparaison à New York, Memphis c’est comme l’âge de pierre quand il n’y avait pas l’électricité et ce genre de choses. Cela n’a rien de méchant pour Memphis, c’est juste le contraste qu’il peut y avoir vis à vis du développement et de l’énergie que dégage New York. Là-bas, les gens sont tellement décontractés là-bas, ils bougent et ils parlent lentement, ils mâchent leurs mots alors qu’ici, les gens parlent tellement vite. »
Avec un peu plus de 650 000 habitants, la ville de Memphis ne peut en effet concurrencer l’activité d’un des premiers pôles économiques et culturels du monde. En revanche, sur le plan sportif et au regard de son intersaison actuelle, Brooklyn ne présente pas encore tous les gages d’une meilleure saison 2014/15 que son homologue du Tennessee.