Si Todd McCulloch (ex-Sixers) est devenu un champion de flipper et que Maurice Ager (ex-Mavs) a récemment été nommé aux Grammy Awards comme producteur de musique, l’après-carrière de Chris Paul pourrait se dérouler sur les lattes des bowling.
Propriétaire d’une équipe professionnelle, le meneur vedette des Rockets organise chaque année un tournoi des célébrités, et pour CNBC, il s’est expliqué sur cette passion.
« Mon père faisait partie d’un championnat, et mon frère et moi étions assis dans les allées enfumées des bowling, à manger les meilleurs frites de notre vie. Au moment de ma dernière année de lycée je crois et alors que mon frère était dans sa deuxième année d’université, mes parents nous ont offert des boules de bowling pour Noël. On était tellement heureux. La mienne était rouge, blanche et bleue. Elle ressemblait à un ballon de basket de l’ABA. Celle de mon frère était marron, et il y avait le numéro 23 et la signature de Michael Jordan dessus. »
« Si je réussis un 300, tout le monde sera au courant ! »
Vainqueur des deux derniers tournois qu’il a organisés, Chris Paul n’exclut pas de passer encore plus de temps dans des bowling après sa carrière. Tout simplement parce que c’est moins exigeant physiquement que le basket… « Mon grand oncle a 79 ans, et il joue encore trois à quatre fois par semaine. Je ne vais pas jouer au basket jusqu’à 79 ans. On peut oublier ça… »
Si Chris Paul rêve toujours de décrocher une bague de champion NBA, au bowling, il n’a qu’un objectif, le score parfait : 300 !
« Je n’ai jamais réussi. Mon meilleur score, c’est 256. Je ne peux pas m’imaginer être dans la 10e manche, d’avoir réussi 11 strikes de suite et d’être là à balancer un 12e. Je n’ai jamais ressenti cette sensation, mais je préférerais avoir à tirer un lancer-franc plutôt que de réussir un strike. Si je réussis un 300, tout le monde sera au courant ! »