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À la rue en première mi-temps, les Blazers n’ont jamais paniqué

Menés rapidement de 17 points, les joueurs de Terry Stotts ont simplement gardé confiance en eux pour remonter cet écart et aller chercher la victoire à Denver.

Un Game 7 est une véritable épreuve. Encore plus à l’extérieur, et davantage encore avec 17 points de retard. C’est la situation dans laquelle s’est retrouvé Portland dimanche en milieu de deuxième quart-temps, à cause d’une adresse catastrophique.

Quels ont été les mots de Terry Stotts pour réussir à inverser la tendance et finalement arracher le match ? « Je ne me souviens plus » confiait-il après la rencontre. Et pour cause : les Blazers n’ont rien changé à leur plan de jeu. « Les joueurs sont impliqués, il n’était pas question d’abandonner. Je n’avais pas grand-chose à dire, c’était tôt dans le match. On devait se ressaisir et une fois de plus avoir confiance » le mot d’ordre de l’entraîneur.

« Notre attaque était vraiment piteuse pendant toute la première mi-temps, mais on a continué à se faire confiance. Je crois que la confiance est le plus important. On a des gars qui sont vraiment confiants, et qui ont confiance en les autres. On savait que le match serait long, et c’est un Game 7 donc tu n’as qu’un choix possible, te battre. »

Les larmes de Dame

Même son de cloche du côté de Damian Lillard, qui a dû attendre la fin de partie pour trouver la mire et a su laisser C.J. McCollum faire son show. « On voulait prendre les possessions les unes après les autres. On était un peu tendus défensivement au début, on était trop facile, on devait serrer la vis. On a soufflé, on a compris que le match allait être long. »

Un scénario à l’image de l’histoire de cette équipe, qui a mangé son pain noir pendant plusieurs saisons avant de retrouver la finale de conférence, 19 ans après, comme le souligne C.J. McCollum. « On est dur, on a un groupe confiant. On s’est battu, on fait face à l’adversité. On n’a jamais pensé qu’on allait perdre. »

« On a changé de roster il y a quatre ans. À ce moment-là, on ne savait pas vraiment quel direction on allait prendre » se souvient Damian Lilard. « On s’est reposé sur la culture qu’on voulait créer : agir de la bonne façon, travailler dur, être là les uns pour les autres, ne pas se reposer sur un gars. Des joueurs au front office, tout le monde est investi dans ce qu’on fait. »

De quoi lâcher quelques larmes de bonheur.

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