En l’absence de Joel Embiid, laissé au repos, ce sont Josh Richardson (20 points) et Ben Simmons (18 points, 10 rebonds) qui permettent à Philadelphie de prendre le meilleur départ. Les Pacers ne se laissent toutefois pas distancer. Domantas Sabonis et T.J. Warren prennent à défaut la défense des Sixers mais ces douze premières minutes nous offrent six égalités, avant que le Lituanien ne donne un court avantage à son équipe (29-27).
Feu d’artifice pour les Pacers
Le deuxième cinq d’Indiana réalise alors le premier break. Dans le sillage des frères Holiday, de Doug McDermott, et de l’ancien Sixer T.J. McConnell, les Pacers entament le deuxième quart-temps sur un 15-2 (44-29). Brett Brown a beau enchainer les temps-morts, son équipe est K.O. debout ! T.J. Warren reprend son chantier et l’écart dépasse les vingt unités (56-34).
Philly ne marque que 16 points dans cette période mais en encaissent 38, alors qu’Indiana compte 21 passes décisives et tourne à 64% de réussite à 3-points, pour rentrer aux vestiaires à -24 (67-43).
La deuxième mi-temps démarre sur les mêmes bases. D’un côté, les Sixers rivalisent de maladresse. De l’autre, les Pacers déroulent. Domantas Sabonis et T.J. Warren continuent sur leur lancée et l’écart atteint les 36 points (87-51) ! Il faut une claquette de Tobias Harris au buzzer du troisième quart-temps pour garder Philly à… -30 (96-66).
Docteur Philly et Mister Sixers
Après leur déroute face aux Pelicans, les Pacers se rassurent donc pour finir l’année, en attendant le retour de Victor Oladipo.
Les Sixers quant à eux continuent leur saison en dents de scie. Après leur victoire probante face à Milwaukee, ils enchaînent une troisième défaite de suite et un deuxième match raté après leur revers à Orlando.