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Finals 2022 | Une série, deux équipes, 22 statistiques

NBA — Comme en 1964, les 76e Finals de l’histoire voient s’affronter les Warriors et les Celtics. Une affiche qui regorge évidemment de chiffres en tous genres.

Qui aurait pu imaginer en début d’année 2022 que Golden State et Boston se disputeraient le trophée Larry O’Brien, lors des Finals ? Très peu de monde (pour ne pas dire personne) car les deux équipes, pas du tout favorites en début de campagne, étaient loin d’être attendues à ce stade de la compétition.

Pourtant, à l’approche de cette série décisive pour le titre, l’affiche entre les Warriors et les Celtics fait saliver, pour les 76e Finals de l’histoire. Deux collectifs de qualité, emmenés par des individualités de feu (Stephen Curry et Jayson Tatum en tête), tenteront ainsi de succéder aux Bucks de Giannis Antetokounmpo.

Et, dans cette ligue qui fait la part belle aux statistiques, les accomplissements chiffrés ne manqueront une nouvelle fois pas de pleuvoir. Afin de vous préparer au mieux à ces alléchantes Finals, Basket USA vous propose d’ailleurs de retrouver ci-dessous certaines des principales stats à retenir, avant le début des hostilités…

22, v’là les Finals

0 — Comme le nombre de joueurs présents dans le Top 5 du scrutin pour le MVP 2022 et qui participeront à ces Finals 2022. Depuis la fusion ABA/NBA (1976), ce n’est que la troisième fois que des Finals sont dépourvues de membres du Top 5 pour le MVP de la même année. La première fois, c’était en 1978 (Sonics/Bullets). La deuxième fois, c’était en 1990 (Blazers/Pistons).

1 — Comme le nombre de franchises qui, depuis la fusion ABA/NBA (1976), sont passées du pire bilan de la ligue à une qualification pour les Finals, en l’espace de seulement deux ans. Il s’agit des Warriors, encore dans les tréfonds de la NBA en 2019/20 (15 victoires et 50 défaites) mais (déjà) de retour au sommet —ou presque— en 2021/22.

2 — Comme le nombre d’équipes qui, depuis la fusion ABA/NBA (1976), se sont qualifiées pour les Finals malgré un bilan négatif à la mi-saison. La première, c’est les Rockets de 1981 (défaite 4-2 contre Boston), qui affichaient un bilan de 18 victoires et 23 défaites après 41 matchs. La deuxième, c’est les Celtics de cette année, qui affichaient un bilan de 20 victoires et 21 défaites après 41 matchs.

3 — Car les trois meilleurs marqueurs des Warriors (Stephen Curry, Klay Thompson, Jordan Poole) et des Celtics (Jayson Tatum, Jaylen Brown, Marcus Smart) dans ces playoffs ont tous commencé leur carrière à Golden State et Boston. C’est la première fois depuis les Finals de 1998 entre les Bulls (Michael Jordan, Scottie Pippen, Toni Kukoc) et le Jazz (Karl Malone, John Stockton, Bryon Russell) qu’un tel cas de figure se produit. « Built not bought ».

4 — Comme le nombre de franchises qui ont participé minimum 6 fois aux Finals, sur une période de maximum 8 saisons. Les Warriors (2015-22) ont récemment rejoint les Celtics (1957-64, puis 1962-69), les Lakers (1962-69, puis 1966-73, puis 1980-87, puis 1984-91) et les Bulls (1991-98).

4 — Comme le nombre de duos père/fils qui ont déjà remporté un titre NBA. En plus de Matt Guokas et Matt Guokas Jr. ; Rick Barry et Brent Barry ; Bill Walton et Luke Walton ; ainsi que Mychal Thompson et Klay Thompson, Gary Payton et Gary Payton II pourraient d’ailleurs venir s’ajouter à cette liste, si les Warriors parviennent à triompher cette année.

5 — Comme le nombre de joueurs qui ont remporté au moins 4 titres NBA, 2 trophées de MVP et 1 trophée de MVP des Finals. Pour l’heure, ce cercle (ultra) fermé n’est composé que de Kareem Abdul-Jabbar, Magic Johnson, Michael Jordan, Tim Duncan et LeBron James. Mais, en cas de sacre et de distinction individuelle, Stephen Curry rejoindrait cette liste de légendes…

6-5 — Comme le bilan des Warriors sur leurs 11 précédentes participations aux Finals : 6 titres (1947, 1956, 1975, 2015, 2017 puis 2018) et 5 finales (1948, 1964, 1967, 2016 puis 2019).

7 — Comme le nombre de titres que pourraient avoir les Warriors, s’ils venaient à triompher cette année. Il s’agirait du troisième plus gros total en NBA, derrière les Lakers (17) et… les Celtics (17). Mais devant les Bulls (6).

7-2 — Comme le bilan des Celtics à l’extérieur dans ces playoffs et c’est le meilleur de la ligue jusqu’à présent. Rappelons que, comme en finale de conférence, Boston ne possède pas l’avantage du terrain dans ces Finals face à Golden State.

8 — Comme le nombre d’équipes qui, depuis la fusion ABA/NBA (1976) ont atteint les Finals, un an seulement après avoir raté les playoffs. Les Warriors de cette année sont venus s’ajouter à une liste qui comprenait déjà les Blazers de 1977 (champions), les Nets de 2002, les Celtics de 2008 (champions), les Cavaliers de 2015, les Lakers de 2020 (champions), le Heat de 2020 et les Suns de 2021.

9 — Comme le nombre d’entraîneurs qui ont gagné le titre lors de leur toute première saison passée sur un banc NBA. Mais, s’il venait à être sacré avec les Celtics, Ime Udoka rejoindrait cette liste, actuellement composée de Eddie Gottlieb (1947), Buddy Jeannette (1948), John Kundla (1949), George Senesky (1956), Paul Westhead (1980), Pat Riley (1982), Steve Kerr (2015), Tyronn Lue (2016) et Nick Nurse (2019).

9-0 — Comme le bilan des Warriors à domicile dans ces playoffs et c’est le meilleur de la ligue. Rappelons que, comme au premier tour, en demi-finale de conférence et en finale de conférence, Golden State possède l’avantage du terrain dans ces Finals face à Boston.

9-7 — Comme le bilan des Celtics face aux Warriors, depuis que Steve Kerr est devenu leur coach. Depuis la saison 2014/15, Golden State affiche un bilan positif contre 28 des 29 autres franchises NBA et la seule exception se nomme donc Boston. Il y a huit ans, en 2014, Stephen Curry, Klay Thompson, Draymond Green, Andre Iguodala et Marcus Smart étaient déjà présents dans chaque effectif.

17-4 — Comme le bilan des Celtics sur leurs 21 précédentes participations aux Finals : 17 titres (1957, 1959, 1960, 1961, 1962, 1963, 1964, 1965, 1966, 1968, 1969, 1974, 1976, 1981, 1984, 1986 puis 2008) et 4 finales (1958, 1985, 1987 puis 2010).

18 — Comme le nombre de titres que pourraient avoir les Celtics, s’ils venaient à triompher cette année. Il s’agirait d’un nouveau record NBA, devant les Lakers (17), les Bulls (6) et… les Warriors (6).

70.5 — Soit le pourcentage de victoires de Klay Thompson et Draymond Green en playoffs. Il s’agit tout simplement du meilleur de l’histoire, parmi les joueurs qui ont disputé au moins 100 matchs de « postseason ». Derrière le duo Thompson/Green, on retrouve l’autre membre du « Big Three » des Warriors, Stephen Curry (69.5%), puis Ron Harper (68.8%) et Dennis Rodman (68.6%).

106 — Comme les « defensive ratings » arrondis des Warriors (106.6) et des Celtics (106.2) en saison régulière. En clair, ce sont là les deux meilleures défenses de la ligue qui s’affrontent pour le trophée Larry O’Brien. À noter qu’en playoffs, Boston (105.1) a encore progressé défensivement, alors que Golden State a quelque peu régressé (111.0), toujours au niveau de cette moyenne de points encaissés sur 100 possessions. « Defense wins Championships ».

123-0 — Comme le nombre de matchs de Finals joués respectivement par tout l’effectif des Warriors (123) et tout l’effectif des Celtics (0). Dans le détail, cela donne 32 pour Andre Iguodala, 28 pour Stephen Curry, 27 pour Klay Thompson, 27 pour Draymond Green et 9 pour Kevon Looney.

141 — Comme le nombre de matchs de playoffs joués par Al Horford. Il s’agit du plus gros total de l’histoire, parmi tous les joueurs qui n’ont pas joué un seul match lors des Finals. Mais cette triste série va (enfin) se terminer pour l’intérieur des Celtics et c’est Paul Millsap, son ancien coéquipier, qui récupérera ce statut peu reluisant.

1964 — Comme l’année au cours de laquelle Warriors et Celtics se sont affrontés lors des Finals (victoire 4-1 de Boston). C’est la seule autre fois que ces deux équipes se sont jouées à ce stade de la compétition. On recense trois autres séries de playoffs entre elles, mais c’était à une époque où elles se trouvaient dans la même conférence (Est), car les Warriors évoluaient à Philadelphie : en 1958 (victoire 4-1 de Boston), en 1960 (victoire 4-2 de Boston) et en 1962 (victoire 4-3 de Boston).

1977-81 — Comme la dernière période de cinq ans durant laquelle cinq champions différents ont été couronnés. Mais, en cas de titre des Celtics, après ceux des Warriors (2018), Raptors (2019), Lakers (2020) puis Bucks (2021), on pourrait revivre une série similaire.

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